Titre : | L'Amérique derrière moi | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Erwan Desplanques (1980-....), Auteur | Editeur : | Paris : Éditions de l'Olivier | Année de publication : | 2019 | Importance : | 1 vol. (171 p.) | Format : | 21 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-8236-1424-4 | Prix : | 16 EUR | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Romans adultes
| Résumé : | Cette année-là, la veille de Noël, le narrateur
apprend une bonne et une mauvaise nouvelle.
La bonne nouvelle, c’est qu’il va avoir un enfant. La
mauvaise, c’est que son père est atteint d’une tumeur incurable.
L’Amérique derrière moi raconte cette période étrange pendant laquelle l’attente d’un « heureux événement » et l’imminence d’un grand malheur finissent par se confondre.
Le père est un excentrique qui ne jure que par les États-Unis, et se rêve en héros de l’armée américaine: il collectionne les uniformes et les armes, circule en Dodge et porte les chaussettes officielles de la Maison-Blanche.
La mère, bien qu’habituée aux bizarreries de son mari, est sujette à de brusques accès de colère. Tous deux forment un couple passionné, que la mère évoque ainsi: « Ton père et moi, on est un peu comme Richard Burton et Liz Taylor... Sans les diamants. »
L’Amérique derrière moi met en scène la vie de cette famille extravagante dans une comédie mêlant douceur, lucidité et humour. Sa gravité évoque l’univers de Jean-Paul Dubois, lorsque le rire se fige et que la mort se rappelle à notre bon souvenir
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L'Amérique derrière moi [texte imprimé] / Erwan Desplanques (1980-....), Auteur . - Paris (96 boulevard du Montparnasse, 75014) : Éditions de l'Olivier, 2019 . - 1 vol. (171 p.) ; 21 cm. ISBN : 978-2-8236-1424-4 : 16 EUR Langues : Français ( fre) Catégories : | Romans adultes
| Résumé : | Cette année-là, la veille de Noël, le narrateur
apprend une bonne et une mauvaise nouvelle.
La bonne nouvelle, c’est qu’il va avoir un enfant. La
mauvaise, c’est que son père est atteint d’une tumeur incurable.
L’Amérique derrière moi raconte cette période étrange pendant laquelle l’attente d’un « heureux événement » et l’imminence d’un grand malheur finissent par se confondre.
Le père est un excentrique qui ne jure que par les États-Unis, et se rêve en héros de l’armée américaine: il collectionne les uniformes et les armes, circule en Dodge et porte les chaussettes officielles de la Maison-Blanche.
La mère, bien qu’habituée aux bizarreries de son mari, est sujette à de brusques accès de colère. Tous deux forment un couple passionné, que la mère évoque ainsi: « Ton père et moi, on est un peu comme Richard Burton et Liz Taylor... Sans les diamants. »
L’Amérique derrière moi met en scène la vie de cette famille extravagante dans une comédie mêlant douceur, lucidité et humour. Sa gravité évoque l’univers de Jean-Paul Dubois, lorsque le rire se fige et que la mort se rappelle à notre bon souvenir
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